Alors que Pierre-Yves Mcsween invite les Québécois à s’interroger sur leurs habitudes de consommation dans son populaire ouvrage « En avez-vous vraiment besoin ? », qu’en est-il de leur capacité à mettre de l’argent de côté ?
Bonne nouvelle : selon un sondage CROP commandité par Universitas, les trois-quarts des Québécois ont mis de l’argent de côté en 2016. 64% des familles québécoises ont investi dans un REER, 47% dans un CELI et 45% dans un REEE. À l’heure où la pratique de la planification financière se généralise, ces résultats très positifs démontrent que la plupart des gens anticipent désormais les études post-secondaires pour leurs enfants. Ceux-ci pourront donc bénéficier des avantages offerts par les REEE.
À quoi sert l’épargne ?
Bien sûr, chaque investisseur a des objectifs d’épargne distincts. En 2016, voici les quatre grandes priorités identifiées :
Une tolérance au risque mitigée
Les investisseurs âgés de 55 ans et plus se concentrent majoritairement sur la retraite, mais seulement 9% d’entre eux disent prêts à accepter le risque de perdre de l’argent en échange de générer des rendements plus élevés dans l’avenir. Au contraire, l’épargne à long terme reste la priorité des 18-34 ans et ils sont plus ouverts au risque. Parmi les différents véhicules de placements disponibles, le CELI et REER demeurent les préférés des Québécois, tandis que les REEE gagnent en popularité avec les années.
Lussier à la rescousse
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